Joris Valenzuela nourrit sa pratique d’observations de paysages urbains familiers, dont son quartier à Montreuil. Il explore la fragilité du travail de mémoire d’une société et de la construction de l'identité, et les relations qu’elle entretient avec le territoire.
Ana Vaz est une artiste et cinéaste dont la filmographie revisite et questionne le cinéma en tant qu’art de l’(in)visible et outil capable de transformer la perception de l’humain, élargissant ses liens avec des formes de vie, autres qu’humaines ou spectrales.
Chaque série photographique est une célébration des failles qui façonnent nos existences. Qu’elles soient physiques, émotionnelles, sociales ou symboliques, elles sont le fil conducteur de cette visite.
Vernissage : jeudi 10 octobre 2024 à partir de 19h.
Lauréat de la troisième édition du Prix Host Call / Galerie Melanie Rio Fluency 2023, Damien Caccia propose à la galerie un ensemble de ses dernières peintures, traversant les saisons de l’année 2024.
Dans l’œuvre du photographe suisse Matthieu Gafsou, les corps sont là, fixes et poignants, imposant leur absence. Car les corps que photographie Matthieu assument l’image, ils la revendiquent, ils crient l’instant photographique en nous regardant droit dans les yeux...
Aujourd’hui, l’IA vient bouleverser cette capacité à créer de l’illusion. C’est une source d’inquiétude mais aussi une motivation pour les photographes, une nouvelle terra incognita qu’il faut explorer.
Chevaliers est une exposition constituée d’un ensemble d’armes et d’armures européennes datant du Moyen Âge et de la Renaissance. La plupart sont des chefs-d’œuvre. L’exposition révèle ainsi la beauté incroyable de ces objets et le savoir-faire artistique des artisans de l’époque.
Lieu : Château des ducs de Bretagne, 44000, Nantes
Dates : Jusqu'au dimanche 20 avril 2025
Photographie
La première image : un còp èra
L'exposition présente les œuvres récentes de Leah Desmousseaux réalisés sur deux sites paléonthologiques. De l’obscurité de ces grottes est née l’image qui, par sa capacité à retourner le visible et à faire éclore l’immensité au cœur du minuscule, devient une hypothèse onirique d’un paysage d’avant l’Homme.