Ashes to stitches, une exposition de Céleste Richard Zimmermann
Quelque part entre manifeste de la révolte et récit fantastique, l’exposition s’apparente à une combustion générale régénératrice. L'artiste nantaise Céleste Richard Zimmermann semble vouloir cautériser le monde pour faire table rase et tout recommencer.
Power Up, Imaginaires techniques et utopies sociales
Au cœur de la crise écologique, Power Up plonge dans l’univers des infrastructures énergétiques et invite à prendre soin de nos désirs d’un futur différent : et si changer de société, c’était changer d’infrastructure ? Et si pour cela il fallait changer nos imaginaires ?
Dates : Jusqu'au dimanche 1 septembre 2024 Jusqu'au dimanche 1 septembre 2024
Art contemporain
Le rêve de Fitzcarraldo
Réalisée entièrement en bois, tel un organisme vivant, puissant et intrusif, et composée d'énormes branches qui s'entremêlent et s'étendent dans un mouvement dynamique, la sculpture est tout aussi merveilleuse que terrifiante.
En clin d'oeil à ce nom peu commun, l'artiste imagine une quarantaine de ferronneries intégrant l'apparition de primates, mais également de volutes, de feuilles et autres éléments ornements faisant référence à la ferronerie d'art.
Lieu : Les Jardins d'Arcadie de la Visitation, Nantes
Dates : Jusqu'au dimanche 8 septembre 2024
Art contemporain
Le train fantôme
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize illustrent de manière joyeuse et jubilatoire une notion qui leur est chère : le métissage des cultures, qu'ils ont retrouvé à Nantes à travers différents symboles.
Danbs un bassin de pierre conçu sur mesure pour l'alcôve de l'édifice, Claire Tabouret intègre Deux Baigneuses qui emprunte le thème du bain cher à l'histoire de l'art.
Pour Le Voyage à Nantes, Séverine Hubard a été invitée à concevoir une sculpture pour un arbre monumental, un Pin radiata d'environ 80 ans et 20 m de hauteur, situé aux abords du Miroir d'eau, face au Château des ducs de Bretagne.
Ce pin semble avoir défié les lois de la gravité en poussant à l'horizontale. Dans un geste sculptural puissant et d'une apparente simplicité, Max Coulon vient l'enserrer d'une main gigantesque, taillée directement dans un tronc de Séquoia.
Et si rien n'est réel, Wildfire est à la fois une contemplation méditative et une alerte sur la fragilité du monde en conséquence du réchauffement climatique.
Illustrant avec poésie et nostalgie des scènes de vie inspirées de la Belle époque, et projetant d'une image idyllique d'une humanité en symbiose avec la nature, ces trois personnages semblent tout à leur aise dans ce nouveau cadre et attendent avec impatience de rencontrer leurs visiteurs.