Une création collective féministe truffée de témoignages personnels, de parodies thérapeutiques et autres projections futuristes d’émancipation. UNFCKBL est un spectacle de sœurs, de colère et de plaisir.
Benjamin va être papa. Il est en proie à de nombreuses interrogations qu'il partage avec un interlocuteur particulier : le futur bébé. Il tente de le prévenir de ce qui l'attend. Du rire aux larmes, le magnifique texte de Daniel Pennac nous emmène dans cet univers inattendu ...
Deux voix, deux corps, un piano et la poésie envoûtante et sensuelle de l’une des plus grandes compositrices-interprètes du XXème siècle. Avec tendresse et espièglerie, Mélanie Le Cam et Pierre Le Normand réinterprètent de façon très personnelle le répertoire de Barbara.
Sur le chemin du retour, Ulysse conte ses malheurs à ses hôtes qui, touchés, l'aideront à atteindre les côtes d'Ithaque la bien-aimée. À travers 27 personnages, trois foules et un bélier, Camille Prioul revisite à sa façon l'Odyssée en 1h25 dans une tempête de rires, de colères, de peurs et au fond de mélancolies.
Encore jeune garçon, Guillaume pense qu’il est une fille. Du moins se comporte-t-il comme tel, ce qui n’est pas pour déplaire à sa mère qui ne manque pas une occasion d’entretenir la confusion…
« Je ne sais pas trop quoi dire... » Comment des femmes issues d’un milieu populaire, ont pu progressivement s’émanciper et résister au modèle dominant au cours de ce siècle ? Quatre danseuses s’emparent de leurs paroles et viennent, au travers de leurs corps engagés, mettre en valeur ces espaces de résistance.
Inspirée par des témoignages et une enquête minutieuse, cette pièce d’aventures met en lumière le rôle des montagnes comme sentinelles du dérèglement climatique.
Pour J.Candel, unir le geste de mise en scène à la musique est naturel. Dans Baùbo, de l’art de n’être pas mort, elle part de la figure de Déméter, à qui sa fille Perséphone a été arrachée, et de Baùbo, la vieille femme qui redonnera le sourire à la déesse. Les comédiens chanteront et s’empareront de leurs instruments.
Sans nostalgie du passé, résolument tournée vers l’avenir, la chorégraphe interroge nos origines, ainsi que la transmission entre générations. En croisant danse et voix, elle se laisse traverser par des récits de femmes, des histoires de départs, de retours, mais aussi d'engagement.
Chant, théâtre et performance de papier se conjuguent au plateau pour figurer le mythe de Baùbo, une prêtresse, incarnation de la pulsion de vie au cœur même de la tragédie. Inspirée par les affres d’une passion d’aujourd’hui, Jeanne Candel célèbre un rituel polyphonique de renaissance, entre lamentation et exaltation.
