Jurassic World
L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.
De Colin Trevorrow, avec Chris Pratt, Bryce Dallas Howard, Nick Robinson, 2h05, USA
Horaires du 20 au 26 Novembre
L'interview
20 ans après Spielberg, Colin Trevorrow s’attaque à la résurrection des dinosaures dans un nouveau Jurassic Park. Référencé, parsemé d’action, d’humour et d’émotion, l’aventure retrouve son efficacité d’antan.
Refaire un Jurassic aujourd’hui, est-ce expérimenter de nouveaux effets spéciaux ?
J’ai eu une équipe de grands artistes capables de créer des effets performants avec un niveau de technologie extraordinaire pour rendre les dinosaures de façon crédible et touchante.
Les Raptors sont presque devenus des personnages à part entière…
Ils sont interprétés par de vrais acteurs en motion capture. On voulait les montrer autrement, mais sans aller trop loin, pour conserver aussi une continuité avec l’image qu’on avait d’eux, 20 ans auparavant.
Quel souvenir gardez-vous du premier Jurassic Park ?
Un film culte qui a parlé à toute une génération. Je l’ai vu à 16 ans et j’ai eu le sentiment de retomber en enfance. C’est ce sentiment que j’ai cherché à retrouver en réalisant ce film.
Pourquoi avoir proposé un petit rôle à Omar Sy ?
Omar, je le connaissais parce que ma femme est Française et mes enfants sont nés ici. Il a une âme généreuse et je voulais que les Américains le découvrent.
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Propos recueillis par Laurence Kempf