La Cloche
Cette année, La Cloche fait son Music… Hall 4 ! Revue cabaret.
- Vendredi 28 décembre 2012 à 20h30
- Samedi 29 décembre 2012 à 15h30
- Samedi 29 décembre 2012 à 20h30
- Dimanche 30 décembre 2012 à 15h30
- Lundi 31 décembre 2012 à 16h00
- Lundi 31 décembre 2012 à 21h00
- Vendredi 4 janvier 2013 à 20h30
- Samedi 5 janvier 2013 à 15h30
- Samedi 5 janvier 2013 à 20h30
- Dimanche 6 janvier 2013 à 14h00
- Dimanche 6 janvier 2013 à 19h00
- Vendredi 11 janvier 2013 à 20h30
- Samedi 12 janvier 2013 à 15h30
- Samedi 12 janvier 2013 à 20h30
- Dimanche 13 janvier 2013 à 14h00
- Dimanche 13 janvier 2013 à 19h00
- Jeudi 17 janvier 2013 à 20h30
- Vendredi 18 janvier 2013 à 20h30
- Samedi 19 janvier 2013 à 15h30
- Samedi 19 janvier 2013 à 20h30
- Dimanche 20 janvier 2013 à 14h00
- Dimanche 20 janvier 2013 à 19h00
- Mardi 22 janvier 2013 à 20h30
- Jeudi 24 janvier 2013 à 20h30
- Vendredi 25 janvier 2013 à 20h30
- Samedi 26 janvier 2013 à 12h00
- Samedi 26 janvier 2013 à 17h00
- Samedi 26 janvier 2013 à 21h00
- Dimanche 27 janvier 2013 à 14h00
- Dimanche 27 janvier 2013 à 19h00
44300 Nantes
L'interview
Depuis 1985, Paul Preumont mène une vie sous cloche. Hier comédien-chanteur et aujourd’hui directeur artistique mais toujours sur scène, l’ancien du Conservatoire national de Région nous éclaire sur la revue cabaret, institution nantaise.
La Cloche a-t-elle encore un sens aujourd’hui ?
J’ai vraiment envie que tous ceux qui ont connu La Cloche d’hier viennent aujourd’hui. Pour voir à quel point le spectacle a évolué. Car pendant quelques années, on a souffert de cette étiquette de ringards. La Cloche, c’est 35 000 spectateurs par an et le spectacle en salle le plus fréquenté de Nantes. Les gens ne sont donc pas fous à ce point-là.
Quelle place pensez-vous occuper dans le paysage culturel nantais ?
Nous sommes à part, car il est impossible de définir La Cloche. Ce n’est ni de l’opérette ni de la comédie musicale. Par contre, je revendique son côté divertissant. On ne demande pas au public de réfléchir, mais de tout oublier. Et personne n’arrivera à me faire dire que j’ai honte de ça. Divertir le public est sans doute plus difficile que de le faire pleurer.
Pourquoi faudrait-il venir cette année ?
Pour redécouvrir La Cloche, si jamais on l’avait oublié. Et pour y passer un bon moment. Il est impossible de sortir des trois heures de spectacle et de dire qu’on n’a rien aimé. Ça serait de la mauvaise foi.
Propos recueillis par Arnaud Bénureau