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La nouvelle création d’Alexander Vantournhout, décortique les mouvements du corps, les lie, les entremêle, et nous entraîne dans une lecture sensible et émouvante des gestes du quotidien.
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La nouvelle création d’Alexander Vantournhout, décortique les mouvements du corps, les lie, les entremêle, et nous entraîne dans une lecture sensible et émouvante des gestes du quotidien.
Nouveau solo de DD Dorvillier.
Pour faire émerger une danse située ici et maintenant, la danseuse fouille dans les sédiments de la mémoire et ses glissements de terrains : de lieux en lieux, elle déplace la mémoire des gestes, des gens et des pierres qui l’ont elle-même déplacée.
Laura Simi & Erika Zueneli, toutes deux originaires de Florence, se connaissent depuis longtemps : leurs parcours respectifs sont des chemins parallèles et semblables. Elles se rejoignent ici autour d’une sarabande pour y chercher les échos, ancestraux et contemporains, de nos rituels historiques et sociétaux.
De Bryan Campdell.
L’envie de raconter une expérience particulière avec un arbre donne lieu à un cycle de chansons – chansons de multiples formes, chantées, gueulées, dansées.
Dans cette pièce, Mathilde Papin assemble deux danseureuses et un musicien, des bouts de bois, des planches et des serre-joints. Elle s'interroge sur la représentation des manières humaines - telles que parler, bouger, construire, chanter - de façon synthétique.Â
Chansons Mouillées est un objet hybride à la croisée de la conférence, du concert et de la performance. Nina Santes fouille son corps, l’espace, les mémoires intimes et collectives, en quête de ce qui mouille, coule, jaillit, déborde.
Éli Lécuru propose un solo hybride abordant la question du geste, ses intentions, son impact, ses possibles.
Cette conférence-performance parlée-bougée prend son origine dans la légende mythologique tirée des Métamorphoses d'Ovide.
closure, de Lisanne Goodhue, est un échafaudage qui s'effondre au ralenti, d'où émergent des formes aux contours flous et malléables. closure "cultive la joie dans la ruine" (Anna Tsing), perturbe, ferme, ouvre et teste les limites du corps individuel et collectif du futur.
La pièce de Céline Cartillier est un récital pour et de la terre. La danse s’écrit à l’échelle de la main, celle qui touche, forme et déforme la matière. C’est une chorégraphie de gestes hypersensibles qui s’accompagne de chants - au sens antique du terme situé entre poème, incantation, envoutement.Â
Moulés dans des combinaisons mouchetées, les danseurs se jouent des codes du ballet classique et de la danse contemporaine. Ils enchaînent les gestes improbables sans musique. Questionner la simplicité en usant du mouvement, c’est de là que tout part.
Ayelen Parolin
Partenariat avec le Grand T, théâtre de Loire-Atlantique et Cap Nort