C’est une création poétique et engagée que nous propose Circus Baobab, collectif d’artistes de Guinée et de la diaspora, mêlant les modes d’expressions traditionnels du cirque africain et les nouvelles écritures du cirque contemporain.
À la barre, trois accusés autour d’une même question : l’accueil et l’aide aux immigrés présents sur le territoire national. Cette fiction inspirée des procès de Cédric Herrou ouvre une réflexion juridique et philosophique sur la fraternité, valeur républicaine inscrite dans notre devise.
Black Lights s'inspire de H24, la série de Valérie Urrea et Nathalie Masduraud : 24 écrivaines de 11 pays ont chacune livré un monologue narrant une histoire de violences sexistes ou sexuelles subies par une femme. La chorégraphe s'approprie 9 des histoires de H24. Mathilde Monnier. Festival Trajectoires.
Dans cette adaptation pour danseurs et marionnettistes, Yoann Pencole imagine un Richard prenant l’ascendant sur les artistes, les manipulant et devenant ainsi le maitre absolu sur la scène.
Heureusement une prise de conscience collective se produira.
Aboutira-t-elle au renversement du tyran et à la mise en place de nouvelles règles de jeu ?
Les grands artistes se déplacent cette année encore au plus proche des ligériens en investissant les villes partenaires de la Région de Pays de la Loire et plus largement l’ensemble du territoire. Programmation à venir et ouverture de la billetterie en décembre 2024.
Dans ce ballet immersif, le chorégraphe réunit des danseur·ses, des enfants atteints de troubles moteurs avec lesquel·les il a travaillé durant six mois et des robots afin de faire émerger un autre regard sur le handicap. Les corps partagent le plaisir de se mouvoir dans ce parc « hors de la norme ».
3ème saison nantaise. Un véritable phénomène de société qui rassemble au théâtre toute la famille, de 10 à 99 ans ! En place pour une série de scènes ordinaires qui deviennent jubilatoires lorsque l’épingle est bien placée : bébé, enfance, adolescence… À tout âge ses joies et ses galères !
Corps étranger, corps exilé, corps migrant. L’artiste cosmopolite chorégraphie le trajet complexe de l’étranger dans une danse physique et universelle. Elle choisit de créer une version en duo signé et en audio-description pour repousser un peu plus les frontières établies.
Dans Close Up, pour six danseurs et danseuses, Noé Soulier travaille sur la correspondance entre une chorégraphie construite à partir de mouvements organiques mais détournés de leur origine, et l’architecture sonore, à la fois abstraite et très expressive dans ses composantes, des pièces de chambre de Jean-Sébastien Bach.
Dans Close Up, pour six danseurs et danseuses, Noé Soulier travaille sur la correspondance entre une chorégraphie construite à partir de mouvements organiques mais détournés de leur origine, et l’architecture sonore, à la fois abstraite et très expressive dans ses composantes, des pièces de chambre de Jean-Sébastien Bach.
