Break - Bruce Chiefare
Avec un titre en forme de contre-pied, un plateau nu parsemé de bonsaïs, le chorégraphe invite à décélérer, à s’attacher aux détails et à percevoir cette danse traditionnellement rapide et saccadée, autrement.
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Avec un titre en forme de contre-pied, un plateau nu parsemé de bonsaïs, le chorégraphe invite à décélérer, à s’attacher aux détails et à percevoir cette danse traditionnellement rapide et saccadée, autrement.
Artiste allemande installée à Nantes, Barbara Zimmer joue ses compositions avec deux musiciens qui accompagnent son univers musical aux multiples inspirations. Pour ce concert, les choristes de Retz'Cital rejoindront le trio sur scène. Une douceur musicale à découvrir.
Comédie de café-théâtre. « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu’on les reconnaît. » Michel Audiard. Pauline aurait dû se souvenir de cette célèbre réplique lorsqu’elle a demandé à Nathan, son collègue de travail, de se faire passer pour son petit ami à un repas de famille.
Le ballet « Giselle(s) » tire sa puissance dans la théâtralité et la richesse de leur chorégraphie. Cette vision féministe du ballet romantique est à l’image des tensions hommes - femmes au sein de notre société. Il ne s’agit plus de Giselle, mais de toutes les Giselle(s) victimes de trahison.
Ce spectacle au titre argotique et populaire nous invite à découvrir une création qui, dans la fluidité d’un travail sans prise de tête, exprime l’évidence de la rencontre de ses deux enfants de la balle, et l’aisance naturelle dans laquelle ils ont inscrit leur pratique artistique. Un véritable temps à vivre en famille !
Comédie de café-théâtre. « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu’on les reconnaît. » Michel Audiard. Pauline aurait dû se souvenir de cette célèbre réplique lorsqu’elle a demandé à Nathan, son collègue de travail, de se faire passer pour son petit ami à un repas de famille.
François a dégoté une petite garçonnière pour passer la nuit tranquille avec sa maîtresse. Il a une grande nouvelle à lui annoncer : il quitte enfin sa femme ! Mais c’est sans compter Cédric, un locataire inattendu et à l’imagination débordante qui décide d’aider François et devient son pire cauchemar.
Improvisations, décalages et plaisir de la rencontre guident cette création collective, entre musique baroque et danse contemporaine (Philidor, Telemann, Rameau, Bach)..
Comment parler à l’enfance de déclassement, d’isolement ? Avec féerie, le spectacle convoque les chants polyphoniques de l’Ouest et de l’Est de la France pour ouvrir grand le merveilleux.
Le groupe définit sa musique comme une “saudade balkanique”. Une musique très vivante, joyeusement hybride, composée de folk arménienne et de rythmes orientaux… L’énergie vocale de Jaklin associée aux cuivres ultra expressifs de Louis ont conquis une audience spectaculaire. Un concert solaire !