La Grande Sophie
La Grande Sophie revient seule en scène avec un spectacle qui s’appuie sur un recueil de lettres écrites à Suzanne, le personnage de l’une de ses chansons.
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La Grande Sophie revient seule en scène avec un spectacle qui s’appuie sur un recueil de lettres écrites à Suzanne, le personnage de l’une de ses chansons.
Comédie de boulevard. 300 000 spectateurs, plus de 3 000 représentations où les amants se succèdent et où les portes claquent ! Femme caméléon, Patricia jongle entre deux amants et elle a une organisation à toute épreuve afin qu’ils ne se rencontrent jamais. Mais chaque système a sa faille !
C’est la vision d’une fille, qui ne voit pas.
Seule en scène, clown enfant et femme lyrique, Leïla Martial visite ses territoires intérieurs dans son costume de Jubilä. Un spectacle inclassable qui porte toute l’extravagance et le talent de sa chanteuse.
Alors c’est un spectacle qui parle de… comment dire… Oh non mais c’est compliqué venez je vous expliquerai.
Bate Fado, de Jonas&Lander,est une performance hybride, entre danse et concert de musique, conçue pour quatre danseurs et danseuses, un chanteur de fado et quatre musiciens
Nouvelle création du théâtre 100-Noms. Une pièce incisive incontournable adaptée au cinéma en 2012. Le texte est bercé d'émotion et irrésistiblement drôle. Il nous rappelle que l'humain est capable du meilleur comme du pire. REVEILLONNONS ENSEMBLE !!
À la croisée du théâtre d'objets, du cirque miniature et du clown involontaire, ce solo met en scène un personnage méticuleux incarné par Amélie Venisse. Cie Sacékripa.
Un duo virtuose et malicieux entre cirque et danse. D’abord inséparables et indivisibles, Markus et Basil jouent à surmonter leurs peurs et à expérimenter coûte que coûte la séparation. La quête d’identité est au centre de cette histoire : où commence mon corps, qui est cet autre que moi ?
Cie Lamento
Trois drag-queens participent à un cabaret unique, la Pink Machine : un dispositif digestif en plastique rose gonflable dont on ne peut sortir avant la fin. L’écriture et la mise en scène ambiguës transforment le plateau en un antispectacle et célèbrent les féminités plurielles comme autant de joyeuses monstruosités.