J'ai envie de toi
Ecrire un texto et se tromper de destinataire, c’est très embêtant !
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Jusqu'au jeudi 27 mars 2025
Ecrire un texto et se tromper de destinataire, c’est très embêtant !
Sur le chemin du retour, Ulysse conte ses malheurs à ses hôtes qui, touchés, l'aideront à atteindre les côtes d'Ithaque la bien-aimée. À travers 27 personnages, trois foules et un bélier, Camille Prioul revisite à sa façon l'Odyssée en 1h25 dans une tempête de rires, de colères, de peurs et au fond de mélancolies.
Encore jeune garçon, Guillaume pense qu’il est une fille. Du moins se comporte-t-il comme tel, ce qui n’est pas pour déplaire à sa mère qui ne manque pas une occasion d’entretenir la confusion…Â
« Je ne sais pas trop quoi dire... » Comment des femmes issues d’un milieu populaire, ont pu progressivement s’émanciper et résister au modèle dominant au cours de ce siècle ? Quatre danseuses s’emparent de leurs paroles et viennent, au travers de leurs corps engagés, mettre en valeur ces espaces de résistance.
La jeune femme célèbre le mariage de l’écriture racée et de la chanson-folk éthérée. Des griffures profondes et une voix cristalline, elle fascine et ensorcelle et pourrait rapidement envoûter la chanson française.
Un dialogue fascinant entre l’accordéoniste Vincent Peirani et le danseur hip-hop Frédéric Faula.
Distribution : Vincent Peirani & Frédéric Faula.
Un dialogue fascinant entre l’accordéoniste Vincent Peirani et le danseur hip-hop Frédéric Faula.
Jeanne Candel unit le geste de mise en scène à la musique. Dans Baùbo, elle part de la figure de Déméter, à qui sa fille Perséphone a été arrachée, et de celle de Baùbo, la vieille femme qui va redonner le sourire à la déesse.Â
Pour J.Candel, unir le geste de mise en scène à la musique est naturel. Dans Baùbo, de l’art de n’être pas mort, elle part de la figure de Déméter, à qui sa fille Perséphone a été arrachée, et de Baùbo, la vieille femme qui redonnera le sourire à la déesse. Les comédiens chanteront et s’empareront de leurs instruments.
Chant, théâtre et performance de papier se conjuguent au plateau pour figurer le mythe de Baùbo, une prêtresse, incarnation de la pulsion de vie au cœur même de la tragédie. Inspirée par les affres d’une passion d’aujourd’hui, Jeanne Candel célèbre un rituel polyphonique de renaissance, entre lamentation et exaltation.