Cette pièce nous amène à (re)découvrir des espaces communs, urbains ou naturels auxquels nous sommes habitués, où le quotidien a laissé son empreinte et où les générations se sont succédées.
Joel, c’est l’union de sept musiciens rassemblés autour de leur passion pour la soul, le rock, la pop et le funk. Portée par la voix du talentueux et charismatique chanteur, leur musique semble venir des années 70, influencée par de grands noms de l’époque comme Pink Floyd, Paul McCartney ou Joe Cocker.
20 ans déjà qu’il déroule sa mélancolie sans omettre une touche de drôlerie – surtout en concert. La référence de la chanson francophone, Pierre Lapointe, nous fait l’honneur d’un passage à La Bouche d’Air.
Comédie de café-théâtre. « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu’on les reconnaît. » Michel Audiard. Pauline aurait dû se souvenir de cette célèbre réplique lorsqu’elle a demandé à Nathan, son collègue de travail, de se faire passer pour son petit ami à un repas de famille.
Hamza Damra (chorégraphe palestinien), cette création est produite dans le contexte géopolitique que nous connaissons. Elle nous invite à croiser la petite et la grande Histoire et à en libérer les corps afin de traiter de toutes les libertés au sens le plus général de ce qu’elles peuvent incarner.
Émotion, enthousiasme, exigence, précision... Le groupe britannique Voces8 s’est imposé comme l’un des plus beaux ensembles vocaux à cappella du monde avec un large répertoire allant de la Renaissance à la création contemporaine, passant par le jazz et la pop.
Retrouvez le Youtubeur Et tout le monde s'en fout sur la scène de a Cité des Congrès le 16 mai 2025
Pour cette création inédite un trio de musiciens algériens s'associe à des musiciens bretons pour former le Diwan-Diwän. Une soirée organisée dans le cadre du Festival de l'eau, en partenariat avec Athénor.
Comédie de café-théâtre. « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu’on les reconnaît. » Michel Audiard. Pauline aurait dû se souvenir de cette célèbre réplique lorsqu’elle a demandé à Nathan, son collègue de travail, de se faire passer pour son petit ami à un repas de famille.
Avec un titre en forme de contre-pied, un plateau nu parsemé de bonsaïs, le chorégraphe invite à décélérer, à s’attacher aux détails et à percevoir cette danse traditionnellement rapide et saccadée, autrement.
