Yves Jamait
Reconnu depuis plus de deux décennies pour ses performances live, où résonne sa voix rocailleuse qui contraste avec la tendresse de ses textes, Yves Jamait livre un spectacle enthousiaste et chaleureux
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Reconnu depuis plus de deux décennies pour ses performances live, où résonne sa voix rocailleuse qui contraste avec la tendresse de ses textes, Yves Jamait livre un spectacle enthousiaste et chaleureux
Lilie Printemps et Damien Joëts chantent le quotidien de l'enfant : à l'école, dans le bain, avec doudou, dans le jardin…Tant de chansons originales sur des thèmes tels que la nature, l'amitié, le respect, la différence, en mettant en avant la joie et l’amusement dans une ambiance savoureusement pop !
Deux compagnies belges revisitent la mythologie grecque. Un joyeux feu d’artifice cosmogonique !
Émilie Monnet met en lumière, l’histoire de Marguerite Duplessis, la première femme autochtone à avoir intenté une procédure judiciaire contre sa mise en esclavage. Slamée, chantée, clamée, la parole retentit comme un écho aux combats féministes et décoloniaux d’hier et d’aujourd’hui.
François Morel, père, et Valentin Morel, fils, se rejoignent sur scène pour une lecture à deux voix des meilleures pages d’un dictionnaire pas comme les autres.
Tout le mystère et le drame schubertien sont réunis dans les deux mouvements de sa Symphonie Inachevée.
Hiller ● Ouverture de la chasse
Mozart ● Concerto pour piano n°9 "Jeunehomme" ● Arielle Beck, piano
Une petite musique de nuit
Schubert ● Symphonie n°8
Bruno Weil, direction
Dans une ambiance faite de pénombre et de senteurs végétales, cinq danseurs laissent leur corps parler jusqu’à la transe. Une chorégraphie sublimée par la musique jouée en live.
1998, c’est l’année où le chorégraphe Bernard Glandier transmet au jeune Thomas Lebrun son solo Pouce ! et lui demande de le transmettre un jour à son tour. Voici le point de départ de cette soirée composée de trois pièces marquantes de répertoire et d’une création.
La Traviata est l’histoire d’une héroïne, Violetta, condamnée à la solitude. Le récit qui nous est proposé épouse chaque battement de son cœur, tout comme le fait la musique de Giuseppe Verdi à qui nous devons l’un des plus beaux personnages de toute l’histoire de l’opéra.
Tout commence par un fait divers réel : lors d’un voyage scolaire, une adolescente poste sur les réseaux sociaux un selfie pris devant Auschwitz et enflamme la toile. Très vite, elle devient la prisonnière virtuelle d’un harcèlement numérique cruel. A-t-elle accompli son devoir de mémoire ou au contraire a-t-elle sali le passé ?