Rêve et ivresse
Dans une ambiance faite de pénombre et de senteurs végétales, cinq danseurs laissent leur corps parler jusqu’à la transe. Une chorégraphie sublimée par la musique jouée en live.
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Dans une ambiance faite de pénombre et de senteurs végétales, cinq danseurs laissent leur corps parler jusqu’à la transe. Une chorégraphie sublimée par la musique jouée en live.
1998, c’est l’année où le chorégraphe Bernard Glandier transmet au jeune Thomas Lebrun son solo Pouce ! et lui demande de le transmettre un jour à son tour. Voici le point de départ de cette soirée composée de trois pièces marquantes de répertoire et d’une création.
Gabriel Um, chorégraphe nantais talentueux et reconnu, nous offre un voyage personnel à travers ses expériences de vie. Comme à son habitude, il mêle textes, musiques et danse de manière indissociable et empreinte de sensibilité.
À partir d’archives de l’INA, le chorégraphe s’est épris d’un désir de danser avec Duras et souhaite avec ce solo approcher l’émotion que lui procure l’écrivaine : l’envahissement de l’être ressenti dans l’écriture pour elle, dans la danse pour lui.
Si vous pensez qu’un spectacle de danse contemporaine ne peut pas être drôle, arrêtez-vous sur cette pépite ! Gestes improbables, sautillements décalés et codes détournés rythment cette pièce insolite.
Le chorégraphe Louis Barreau poursuit le dialogue entre musique et danse et invite 9 danseuses et danseurs au plateau pour célébrer les concertos pour piano et orchestre du compositeur hongrois Béla Bartok. Cie danse louis barreau. Festival Trajectoires.
Si vous pensez qu’un spectacle de danse contemporaine ne peut pas être drôle, arrêtez-vous sur cette pépite ! Gestes improbables, sautillements décalés et codes détournés rythment cette pièce insolite.
Audrey Bodiguel nous présente une maquette de sa prochaine création dont le point de départ est la mort et ses célébrations. L'artiste s'engage dans une exploration scénique, plastique et performative du passage de la présence à l'absence...Festival Trajectoires.
Sur scène, danseuses et danseurs traversent des rites et (re)créent un monde. Dans leurs corps s'élaborent des flux et des oppositions qui font naître la dynamique du mouvement qui repose sur l'équilibre, le désordre, la rupture, l'assemblement. Collectif Allogène. Festival Trajectoires.
Un duo entre deux corps : celui d’un performeur et d'une statue. Partenaires d’une valse esseulée, ils appréhendent la complexité de leur relation. Les rôles s’échangent, les rapports de force s’accumulent et s’affrontent, jusqu’à ce que la frontière qui les séparait disparaisse.