Écrivain, radioman, bricoleur-producteur, animateur de brigades poétiques jouant hors des radars, Michel Arbatz a souvent chanté les poètes. Cadou, Villon, Cendrars, Prévert, Desnos (il y a plus de vingt ans à la salle Paul-Fort).
Michel Arbatz a souvent chanté les poètes : Cadou, Villon, Cendrars, Prévert, Desnos. Il est aussi l’interprète de ses propres chansons, au cœur de ce nouveau spectacle : Ça flingue, ça fuse et ça rêve l’engagement dans la vie ouvrière avec les fantômes de Karl Marx, de Gauguin, de Brassens.
Un silence, quelques pincements de cordes, un souffle puis une voix envoûtante passant du grave aux envolées lyriques. Offrant la part belle au texte, Vaslo, c’est la fusion entre sens et son, slam et chanson, pop-rock et baroque. C’est aussi une interprétation très habitée, toute en douceur et en intensité.