La P’tite crêpe qui rit
Avant de se baigner à la plage de la Noëveillard à Pornic, on s’arrête déguster des galettes à La P’tite crêpe qui rit. Et rien de tel qu’une charmante terrasse à l’ombre pour déjeuner.
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Avant de se baigner à la plage de la Noëveillard à Pornic, on s’arrête déguster des galettes à La P’tite crêpe qui rit. Et rien de tel qu’une charmante terrasse à l’ombre pour déjeuner.
Au bord de la Sèvre nantaise, installé dans un transat, on teste les burgers et tapas avec un verre de muscadet en plein territoire du Vignoble nantais à Clisson. Cascade de plaisirs !
On descend de la gare de Clisson pour goûter des crêpes gourmandes ou des poutines au Québreizh. Avant et après le Hellfest, des concerts rocks sont organisés sur place. Dépaysement assuré !
Pour les amateurs de burgers, on court au Glouton, à Vertou. On conseille le Vorace : viande de bœuf, chèvre fermier, poivrons confits, poitrine grillée et mayo maison. Le chef Steven Arnaud a décroché la deuxième place en finale régionale durant La Coupe de France du Burger !
Le Muutch est un restaurant chaleureux à Vertou, avec une décoration végétale. On sirote un cocktail, partage une pizza entre amis sur la terrasse extérieure. Des concerts pop-rock et des humoristes viennent régulièrement assurer le show.
À deux pas de la nouvelle place des bains douches et de la sculpture en bronze Les baigneuses pour le Voyage à Nantes, Madeleine café présente un cadre à la fois cosy et industriel. On se pose sur la terrasse verdoyante en buvant des cafés de spécialité. Ouvert de 8h30 à 17h30, il est possible de déjeuner.
Cette terrasse se mérite. Dans cette rue où l’on trouve des maisons à colombages, le restaurant Le Bouchon propose une cuisine du marché et un dressage soigné des assiettes. Son jardin intérieur en guise de terrasse marque les esprits !
C'est quoi ? Une crêperie gourmande à l'ombre de l'église Sainte-Croix, au cœur du Bouffay.
Pourquoi y aller ? Pour la simplicité. Ici, on est toujours bien accueilli par un personnel chaleureux. Les pates des galettes et des crêpes sont croustillantes grâce à de bonnes cuissons. On y cuisine des produits frais devant vous. Au-delà des traditionnels classiques de la crêperie, on note quelques associations plus originales. Et des salades. Aux beaux jours, on profite de la terrasse en façade.
Ça n’est pas un Burger King qui a remplacé le Quick de la Place Graslin mais une brasserie qui joue la carte monde. Le décor (signé Where is Brian ?) vous en met plein la vue en multipliant les ambiances à grand renfort de statuettes et jarres. Si la salle de l’entrée a de quoi impressionner sur deux niveaux, c’est un peu chargé dans la salle attenante du rez-de-chaussée (la moquette !).
À la carte, l’Italie avec antipasti, bar à mozza, pizzas et pastas. Un grill avec de belles pièces de bœuf, de porc ibérique, d’agneau ou de volailles. Les cuissons étaient réussies mais déception avec les frites maison servies froides et molles. Bar à huîtres, trois poissons, salades corner et fajitas pour compléter.
Serveurs prévenants et tarifs qui font le grand écart entre la pizza à 9,50 € et la côte de bœuf à 59 € (pour deux).
C’est quoi ? Une belle adresse nichée dans une maison du XIXe siècle.
Pourquoi y aller ? Pour une Saint-Valentin grand jeu. La cuisine française n’est ni nouvelle ni croisée à celles d’autres pays. Il ne faudrait cependant pas penser que L’Abelia est une table pratiquant le vieux jeu. C’est tout le contraire. Le rapport qualité/prix est surprenant.