Estelle et Jérôme nous accueillent chez Bairoz. Elle cuisine les plats, lui, les desserts. Leur devise : “une cuisine douce de caractère” ! Au menu, des produits régionaux, de qualité et de saison, mais aussi, des vins du pays nantais mis à l'honneur pour accompagner les différents menus à la carte. Pour le midi, le restaurant propose une cuisine de marché. Des propositions simples mais raffinées pour profiter de sa pause entre collègues et amis. Le soir, deux menus sont disponibles. Le découverte, décliné en une entrée, deux plats et un dessert, et le Bairoz avec deux entrées, deux plats et deux desserts. Un endroit gastronomique qui ne manquera pas de vous enchanter, tant par son atmosphère que par sa cuisine, sensible !
Avec la fougue de ses 28 ans et une expérience acquise auprès de chefs et restaurants renommés (Apicius, Les Frères Ibarboure, Stéphane Duchiron, L’U.ni…) Anne-Lise Genouel tape dans le mille en ouvrant un restaurant-bar à vin. Outre la jolie atmosphère, et une cave bien achalandée, on y découvre une cuisine appliquée le midi et des tapas ou assiettes autour d’un verre de vin le soir. Les assiettes, de petits bijoux multicolores, chatoyants, sont aussi belles que délicieuses à savourer seul ou à partager (à l’apéritif) à deux, trois ou quatre.
Savourer la vraie cuisine chinoise traditionnelle, c’est rare mais possible. À Nantes, La Porcelaine s’impose comme le seul restaurant qui réalise des plats chinois authentiques. Et pas question de tomber dans le mix asiatique.
Une situation de rêve (avec une grande terrasse sur les bords de la Sèvre et une vue sur le château magique !) et une cuisine moderne, goûteuse, bien exécutée, servie dans un décor contemporain sont des atouts majeurs pour cette table de l’Hôtel Best Western de Clisson. On prend donc plaisir à s’y attarder étant donné le cadre agréable (berges bucoliques, sons de la rivière) parfait pour les belles et douces soirées d’été.
C'est quoi ? Deux amis d'école, Alexandre et Jérémy, ont décidé de changer de vie et d'ouvrir leur propre restaurant. Pourquoi y aller ? Installé quartier Bouffay, Les Fils à maman défend une cuisine gourmande et nostalgique. C'est simple, généreux et délicieux comme les petits plats que l'on s'arrachait petit. Ouvert le dimanche midi (notamment pour un brunch de 12h à 16h, Les Fils à maman laisse tous les premiers mardis du mois les fourneaux aux mamans. et on ne saurait trop vous conseiller d'être fidèle afin de tourner la roue des gourmands.
Obbo t'invite à découvrir sa "cave à manger". Un mélange subtil de cave à vin et de salle à manger. Au programme, une nouvelle expérience culinaire à base de produits locaux et essentiellement bio. Les assiettes d’Antoine Gaudin et les accords signés par Guillaume Claireau.
Un concept simple : composer soi-même son menu avec des assiettes au choix, à partager ou pas ! Une sorte de bar à tapas revisité et à la française.
Et pour les plus gourmands, Obbo propose un menu 100% desserts qui fera saliver petits et grands.
Un endroit insolite à tester de toute urgence si ça n’est déjà fait !
Petit restau discret, mais bondé le midi, fédérant toutes les générations, ce qui explique pourquoi le service peut être bousculé quand c’est plein. Mais c’est un bon point de chute pour une cuisine efficace sans chichis, aux parfums de différentes régions de l’Inde, servie par une équipe chaleureuse. On se laisse tenter par les pakoras (beignets), les samossas de légumes, le poisson Malabar (cuit dans une feuille de bananier), ou le poulet Baffat (dans du lait de coco, gingembre et garam massala). La salle, tout en longueur, n’a rien de formidable, mais les prix sont justes et c’est beaucoup mieux que d’aller dans un low coast flippant.
Attention. À partir de cet instant, nous entrons dans une nouvelle dimension de la gastronomie nantaise. Car il ne semble pas y avoir de mot pour exprimer ce que Romain Bonnet veut faire. Toutefois, ce qu’il veut explorer se résume en cinq mots ou plus exactement en cinq saveurs : salé, sucré, acide, amer et piquant. Omija est d’ailleurs une baie coréenne qui réunit harmonieusement ces cinq éléments. « Elle exprime ce que je veux faire ressentir dans mes plats : révéler un produit brut grâce à cet équilibre entre toutes ces différentes notes » dit-il. Une invitation à la découverte d’une cuisine d’instinct, bousculant les codes, très ajustée, tirant la quintessence des univers culinaires (et pas des moindres) traversés.
En effet, après être passé par Le Manoir de la Régate, Le Manoir de la Boulaie (2 macarons au Michelin), La Raffinerie, puis trois années auprès de Pierre Gagnaire (triplement étoilé), l’ouverture de son propre restaurant sonne aussi comme le retour de cet enfant prodige à ses origines ligériennes.
À Nantes, le nom de cette nouvelle adresse est depuis peu sur toutes les lèvres ! Située en plein centre ville, place de la Monnaie, elle affiche une déco néo-bistrotière contemporaine léchée, signée Brune de la Guerrande, qui n’est autre que la belle sœur du chef Jean-François Pantaleon. Ce dernier (Baulois/Yonnais) revient dans sa région natale, après un parcours étourdissant (Apicius, Anne de Bretagne, La mare aux Oiseaux, le Meurice, La Grande Cascade…) et l’ouverture à Paris de son propre restaurant, Coretta. Technicité, qualité des produits, fraîcheur, subtilité, esthétisme : à chaque repas, il sait mettre en avant le meilleur de son savoir-faire.
Le rendez-vous incontournable de tous les amateurs de viande.
Pourquoi y aller ?
Ce n’est pas parce que Le Coq en pâte est une institution que l’on devrait s’interdire d’en parler. Chez Dom, on s’y bouscule, on y dévore un demi mètre de hampe et on y reste longtemps. Les habitués réservent, tant et si bien que la brasserie affiche presque tout le temps complet. Ceux qui ne connaissent pas encore l’adresse (il y en a encore ?) savent maintenant ce qu’ils doivent faire.